Carcassonne : Régis Banquet élu membre du Bureau du Dialogue Métropolitain de Toulouse
À l'occasion de l'assemblée générale de l'association du Dialogue Métropolitain de Toulouse,(...)
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Vice-président du Medef 31 et directeur général de l’équipementier aéronautique Technofan ((...)
Nouveau rendez-vous régional, le salon Avenir Logistique dédié aux professionnels de la filière(...)
En 2014, les investissements réalisés dans l’immobilier d’entreprise en France ont atteint 23(...)
L’investisseur Initiative&Finance prend 26 % du capital de Vortex Mobilité (Saint-(...)
Le 29 mai a ouvert à Perpignan un restaurant franchisé de 130 places assises et une quinzaine(...)
Selon l’étude du Crédit Foncier relative aux caractéristiques immobilières des 13 nouvelles(...)
Corinne Giacometti, président de l'Établissement public foncier régional du LR, s'inquiète de l'avenir de l'EPF LR, après la fusion des régions. Réponse de la ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique Marylise Lebranchu, venue à Montpellier expliquer la loi NOTRe, le 22 juin : « Si Midi-Pyrénées n’en a pas, vous l’avalerez ! Vous absorberez le tout. Je pense qu’il faut rendre obligatoire les EPFR. C’est un fer de lance de l’aménagement des territoires. »
« A l’export, notre savoir-faire français ne suffit pas à lui-même. Je viens de changer toute ma marque, le positionnement, les couleurs, pour l’adapter à mes clients asiatiques, indique le toulousain Serge Atia (Proxidelice, produits bio pour la restauration et le snacking). J’ai pris des codes couleurs chinois. Nos concurrents sont européens, voire mondiaux. Il faut voir qui sont les concurrents. Et beaucoup d’acteurs européens sont présents en Asie. Il faut réfléchir à ce qu’on peut valoriser par rapport à eux. »
Les candidats socialistes aux élections régionales de décembre seront arrêtés le 9 juillet, avec des possibilités de faire évoluer les listes d’ici à la rentrée, au gré des accords éventuels avec Philippe Saurel et le PRG.. Le maire de Montpellier annoncera son choix en septembre. Quant à Jean-Michel Baylet, il dit « ne plus croire » à un accord avec le PS , qui considérerait les radicaux comme ses « valets »..