« Depuis plusieurs années, la profession de buraliste est secouée par le marché parallèle de vente de cigarettes ou encore la fiscalité. Mais nous sommes un commerce essentiel qui doit rester compétitif et se diversifier », déclare à La Lettre M Philippe Coy, président de la confédération nationale des buralistes et buraliste dans les Pyrénées-Atlantiques. De passage dans le Tarn le 8 décembre, il a rappelé l’utilité du fonds public de transformation de 100 M€ mis en place par les pouvoirs publics en 2018, encore disponible pendant un an. Pour moderniser leur rayonnage et rendre plus accessible la diversité de l’offre, les buralistes peuvent disposer d’une prise en charge de 30 % de leurs dépenses (HT), pour une aide plafonnée à 33 k€. En Occitanie, 532 buralistes sur 2 120 ont engagé une demande de transformation.
Philippe Coy, Confédération nationale des buralistes
14/12/2021