En marge de l’inauguration, le 9 septembre, du Centre opérationnel production (Cop) TER Occitanie, à Toulouse, Jean-Luc Gibelin, vice-président de la Région Occitanie en charge des mobilités et des infrastructures de transport, confie à La Lettre M ses espoirs quant aux retombées potentielles du Plan de relance en région. « Nous savons déjà que certains sujets de long terme, comme la LGV, n'en font pas partie Mais à mes yeux, descsujets peuvent être étudiés dès aujourd’hui. Les trains de nuit, avec le Paris-Tarbes, l’amélioration des Paris-Rodez et Paris-Cerbère, mais aussi le fret. Nous avons besoin d’une liaison perenne entre le marché Saint-Charles (à Perpignan) et Rungis. »
« Un rendez-vous doit avoir lieu demain (10 septembre, NDLR) à Paris avec les vice-présidents des Régions, indique-t-il. Nous serons reçus par le directeur de cabinet du ministre des Transports. Nous en saurons alors probablement davantage. » Plus globalement, l’élu estime qu’« en termes d’infrastructures ferroviaires, l’Occitanie a des besoins énormes. Quelles seront les actions de l’État en la matière ? »