Hebdo du mardi
Revue de presse
Monde
LGV
La station de radio évoque (le 15/3) le projet de ligne à grande vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse qui doit mettre la Ville rose à trois heures de Paris à l'horizon 2024. Un projet qui suscite le débat : « Toute la question est de savoir s'il est judicieux d'investir neuf milliards d'euros pour gagner une heure de trajet. La réponse est catégoriquement non pour Claude Semin, porte-parole des opposants en Nouvelle-Aquitaine et en Occitanie. "C'est une stupidité économique, une stupidité environnementale. On sait qu'en-dessous de 300 kilomètres, c'est aberrant de construire une LGV. Ce n'est pas rentable du tout, on fout de l'argent par la fenêtre", estime-t-il. »
Géants
Le fondateur de Medtech, Bertin Nahum, confie à l'hebdo (le 1/3) que « en tant que société qui défend l'intérêt de ses salariés et sa technologie, Medtech a fait le meilleur choix possible en rejoignant un groupe international, même si, du point de vue du territoire, on peut regretter qu'il n'y ait pas d'acteur français dans le secteur ». « Bâtir une filière exige une volonté politique et l'engagement d'investisseurs. (...) Même avant notre rachat, nos capitaux étaient étrangers. »
Privatisation
Le site du quotidien évoque (le 15/3) la décision du tribunal administratif de Paris qui rejette ce même jour le recours des opposants à la privatisation partielle de l'aéroport de Toulouse. Une procédure destinée à faire annuler la décision de cession d'une partie du capital par l'État, selon le jugement publié sur le site du tribunal. « Il juge notamment que la procédure suivie n'a pas été irrégulière et que le choix de l'acquéreur n'est pas entaché d'erreur manifeste d'appréciation. »
Agriculture 3.0
« A la vitesse à laquelle se développent les technologies, c’est un sacré pari de maintenir nos formations à jour », raconte Bruno Tisseyre, enseignant-chercheur à Montpellier Sup Agro. Cette école, Bordeaux Sciences Agro et l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture (Irstea) ont lancé une chaire AgroTIC. Forte de 23 partenaires et de 500 k€ de budget, celle-ci « assoit autour d’une même table écoles, coopératives agricoles, équipementiers, start-up, etc. », pour mettre en adéquation la recherche et l’enseignement avec les besoins des entreprises ».
Pulco
L'entreprise familiale catalane Brasserie Milles qui est certifiée AIB (CA 2015 : 25,1 M€, 70 salariés, Toulouges,66) assure depuis le 28/2 la mise en bouteille pour la France de la bouteille « prête à boire » de Pulco annonce l'hebdo catalan le 8/3. La société fondée en 1928 par Joseph Milles embouteille aussi Orangina, Pepsi-Cola, Oasis qu'elle distribue dans les CHR.
